Flamecourt, Marie
[UCL]
Roginsky, Sandrine
[UCL]
Wuillaume, Amélie
[UCL]
Le nombre de plateformes de crowdfunding s’est vu multiplié au fil des années. Ainsi, nous en retrouvons à travers le monde plus de huit cents. La croissance importante de ce nouveau type de financement et son intérêt en matière de communication nous ont poussés à nous pencher sur les facteurs qui peuvent influencer la réussite d’une campagne. Ainsi, notre présent mémoire se construit autour de la problématique suivante : « Dans quelle mesure les éléments présents sur le pitch d’un projet d’une plateforme de crowdfunding peuvent-ils permettre à un porteur de projet d’atteindre l’objectif financier fixé ? ». Pour tenter de répondre à cette question, nous avons utilisé une méthode d’analyse sémiotique. Dès lors, nous avons mobilisé des grilles basées sur les écrits de Joly (2015) et Ihlen (2004) ainsi que la méthode du zoning proposée, notamment, par Barats et Leblanc (2012). Suite à l’analyse et aux interprétations réalisées grâce aux apports théoriques comme la rhétorique, l’éthos, les contenus numériques tels que les images et les textes ou encore la ligne de flottaison, nous avons pu répondre à notre problématique. Ainsi, il s’est avéré que la crédibilité des porteurs de projet et l’ergonomie des pages web de présentations peuvent être vues comme des clés de réussite pour atteindre les gains financiers souhaités.
Bibliographic reference |
Flamecourt, Marie. « Dans quelle mesure les éléments présents sur le pitch d’un projet d’une plateforme de crowdfunding peuvent-ils permettre à un porteur de projet d’atteindre l’objectif financier fixé ? ». Le cas de la plateforme Crowd’in et des projets Blue Bossa Liberté et Nico Dovan. Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication, Université catholique de Louvain, 2018. Prom. : Roginsky, Sandrine ; Wuillaume, Amélie. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:15624 |