Di-Giovanni, Marina
[UCL]
Les maladies de l’aorte peuvent affaiblir la solidarité de la paroi artérielle, et entraîner la formation d’anévrisme, la dissection ou une rupture.
- Un nombre considérable de maladies peut toucher l’aorte. La plupart touchent aussi d’autres organes, mais certaines anomalies congénitales atteignent exclusivement l’aorte.
- Anévrismes de l’aorte.
- Les étiologies en sont multiples : syphilis, athérome, infections, traumatismes, médianécrose, cardiopathies congénitales.
- Toutefois selon le segment aortique intéressé, les possibilités étiologiques sont souvent limitées et les possibilités chirurgicales très différentes.
- Donc on peut schématiquement distinguer :
- les anévrismes de l’aorte thoracique
- les anévrismes non syphilitiques de l’aorte thoracique où domine l’anévrisme disséquant
- les anévrismes de l’aorte abdominale presque toujours de nature athéromateuse.
Anévrisme de l’aorte abdominale, un anévrisme de l’aorte sus-rénale peut faire discuter la syphilis mais l’immense majorité des anévrismes abdominaux est de siège sous-rénal et d’origine athéromateuse.
Les autres anévrismes : oslériens, tuberculeux, traumatiques, disséquant, secondaires à une coarction ou une maladie de Marfan, sont moins fréquents.
L’anévrisme athéromateux st parfois associé à d’autres lésions athéromateuses.
Les anévrismes posent toujours un problème thérapeutique.
Les risque est d’une part et surtout la survenue d’aggravation (évolutif) traitement chirurgicale d’urgence
Bibliographic reference |
Di-Giovanni, Marina. Le risque de rupture des anévrysmes. Prom. : |
Permanent URL |
https://hdl.handle.net/2078.1/247714 |