Rousseaux, Xavier
[UCL]
La spécificité de la méthode de l’historien, qui partage de nombreuses prémices théoriques avec les sciences sociales, est bien la mise à distance de l’événement violent. La place des jeunes dans les phénomènes désignés comme violents apparaît ainsi, sur la longue durée occidentale, éminemment variable. En outre, le sens que revêt cette violence se révèle être très changeant suivant le statut qu’une société donnée confère à l’usage de la force.
Référence bibliographique |
Rousseaux, Xavier. Jeunes et violences : pour une histoire de rapports de force.... In: Revue d'histoire de l'enfance « irrégulière » : Le Temps de l'histoire, Vol. 9, p. 127-140 (2007) |
Permalien |
http://hdl.handle.net/2078.1/83881 |