de Lestrange, Roselyne
[UCL]
Le paradigme actuel de métropolisation/ fragmentation et de recherche de soutenabilité, appelle à un renouvellement de la pensée sur la ville. Parmi les récits urbains émergents, nous rejoignons la posture de l’école territorialiste, pensant que le paysage peut être un outil au service de son projet local. Théorique, par la pensée paysagère ; spatial, comme charpente des territoires urbanisés, et stratégique, en tant que système complexe. D’une façon complémentaire sur trois terrains représentatifs du phénomène de morcellement territorial métropolitain (le delta du Tigre à Buenos Aires, la Plaine de l’Aire à Genève, et la vallée de la Senne dans le Grand Bruxelles), on cherche quels outils pourrait offrir le paysage, en tant que registre phénoménologique et catégorie de projet, pour alimenter un processus de reterritorialisation et faire passer la ville archipel de l’état de phénomène à celui de projet. En parallèle à ces objectifs de soutenabilité, on pose la question de la cohérence spatiale des territoires urbanisés: est-elle une nécessité? Selon quels critères la penser dans le cadre d’un projet local?
Bibliographic reference |
de Lestrange, Roselyne. Morcellement territorial et paysage. (2012) 52 pages |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/126281 |