Mukarukundo, Aimée Clarisse
[UCL]
Coppens, Philippe
[UCL]
Depuis la création d’un système économique mondial organisé par l'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce au lendemain de la Seconde Guerre mondiale le 30 octobre 1947, on reconnaît « qu’il est nécessaire de faire des efforts positifs pour que les parties contractantes peu développées s'assurent une part de la croissance du commerce international qui corresponde aux nécessités de leur développement économique ». Néanmoins, on peut observer que l’intégration de nouveaux acteurs économiques à ce système global ne se fait pas sans heurts du fait notamment des disparités du niveau de développement, certains étant plus développés que d’autres. La dissemblance entre les pays développés et en développement crée donc une opposition entre ceux qui soutiennent que le commerce international contribue à l’appauvrissement des plus pauvres et ceux qui défendent que la globalisation contribue à la lutte contre la misère du monde. Toutefois, ces affirmations rendent le débat central étanche car le point de discorde se situe au niveau de l’obtention pour chacun, pauvre ou riche, d’une part juste et acceptable des bénéfices de la globalisation au regard des alternatives possibles par le truchement du droit économique international.


Bibliographic reference |
Mukarukundo, Aimée Clarisse. La redistribution des richesses dans le droit de l’Organisation mondiale du Commerce: la source d’un commerce juste et équitable pour les pays les moins avancés. Faculté de droit et de criminologie, Université catholique de Louvain, 2021. Prom. : Coppens, Philippe. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:31906 |