La résilience estudiantine à l'ère de la crise Covid-19 en Wallonie-Belgique. Quels impacts sur la promotion du capital social des étudiants internationaux-masters?

Depuis un an et demi, le monde fait face à une crise sanitaire de crise de Coronavirus, «ennemi de l’humanité». Tous les secteurs de la vie notamment l’enseignement ont été affecté et contraints à un bouleversement de l’organisation du temps, de l’organisation et de fonctionnement. En Wallonie-Belgique, tous les établissements d’enseignement ont dû fermer avant d’opter pour un enseignement en distanciel. Ce travail a mis en évidence le capital social en tant que déterminant de la résilience. Il se penche sur le cas des étudiants internationaux-masters boursiers ARES. Cela étant, la préoccupation principale a été de comprendre les défis auxquelles sont confrontés les étudiants internationaux masters à l’ère de la crise Covid-19, mais aussi la manière dont ces étudiants se sont adaptés dans ce contexte d’incertitude et capitalisé les acquis de la formation. A partir des faits de terrain, il a été révélé qu’à l’ère de la crise Covid-19, les étudiants internationaux font face à l’isolement, à la solitude, aux stress, au dérèglement du sommeil, etc. Ces défis ont été accentués par les mesures préconisées par les autorités publiques dans le but de limiter la propagation du Coronavirus notamment, le confinement, la restriction sociale, l’enseignement en distanciel, etc. Ce qui a favorisé de plus en plus, l’annihilation des contacts physiques et sociaux et, par conséquent, modifié le capital social de ces derniers.