Thonner, Elena
[UCL]
Sepulchre, Sarah
[UCL]
Depuis quelques années, nous voyons une recrudescence des personnages autistes sous différentes formes : au cinéma, dans les séries, les livres, les émissions pour enfants,.... En plus de cette représentation grandissante, nos connaissances sur le sujet s'élargissent. Par conséquent, le trouble du spectre de l'autisme (TSA) est abordé également dans nos médias, qui relatent des histoires diverses d'individus impressionnants. Certaines célébrités, parce qu'elles se trouvent sur ce spectre autistique, parviennent aussi à le rendre célèbre (par exemple Anthony Hopkins, Greta Thunberg,...). Dès lors, nous pouvons nous poser la question de sa représentation dans les films. C'est ce que nous verrons dans ce mémoire. Nous tenterons de voir s'il y a une différence entre un personnage Asperger clairement diagnostiqué dans le film ; et un personnage non-diagnostiqué dans la production mais que les autistes s'approprient, le considérant Asperger. Cette comparaison se fera à l'aide de quatre personnages, tirés de productions différentes : Christian Wolff (Mr. Wolff), Pierre (Le Goût des Merveilles), Norbert Dragonneau (Les Animaux Fantastiques) et Jillian Holtzmann (Ghostbusters 2016).


Référence bibliographique |
Thonner, Elena. Les spécificités de la représentation filmique d’un personnage diagnostiqué Asperger, comparé à un personnage considéré Asperger sans diagnostic. Étude de cas : Mr. Wolff, Le Goût des Merveilles, Les Animaux Fantastiques & Ghostbusters (2016). Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication, Université catholique de Louvain, 2021. Prom. : Sepulchre, Sarah. |
Permalien |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:29764 |