Gillissen, Marie
[UCL]
Schmitz, David
[UCL]
Gillis, Christophe
[UCL]
Vandenbroucke, David
[UCL]
Le mémoire propose de s'interroger sur le potentiel de reconversion des espaces déchet de la ville. L’espace déchet, appelé aussi espace résiduel ou interstice, reflète l’image d’une ville incapable de se régénérer. Ce travail à l’ambition de présenter l’espace déchet différemment, passant d’un espace invisible et rejeté à une réelle ressource de reconversion pour la ville. Ces reconversions donnent alors naissance à de nouveaux lieux ou non-lieux d’urbanité. La deuxième partie de ce mémoire se consacre plus en profondeur à un type d’espace déchet : les interstices infrastructurels. Les interstices infrastructurels se montrent comme de véritables potentialités de reconversion, facteurs de réconciliation entre le train et la ville. L’infrastructure en elle-même et les vides qu’elle génère sont de réelles sources de réaménagements publics pour la ville. Leur réaffectation permet alors de donner une seconde vie au patrimoine ferroviaire et ses abords en réveillant un esprit du lien alors enfouit.


Référence bibliographique |
Gillissen, Marie. A la reconquête de nos villes : Comment les espaces déchet, en milieu urbain dense, présentent-ils des potentialités de reconversion en (non-)lieux publics ?. Faculté d'architecture, ingénierie architecturale, urbanisme, Université catholique de Louvain, 2019. Prom. : Schmitz, David ; Gillis, Christophe ; Vandenbroucke, David. |
Permalien |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:19294 |