Plomb, Nicolas
[UCL]
Benoit, Nicolas
[Responsable Centre d'Aide à la Performance Sportive (CAPS). Faculté des Sciences de la Motricité]
Des études concernant des répétitions de sprints en condition hypoxique ont pu mettre en évidence les bénéfices de cette méthode dans des sports intermittents tels que le rugby ou le hockey. Cependant aucune étude similaire n’a été réalisée dans le judo. L’objectif de ce mémoire est donc d’observer les gains et les bienfaits que pourrait amener un entrainement intermittent de haute intensité en hypoxie sur la performance chez des judokas de haut niveau. C’est dans cette optique que 5 judokas élites de la fédération francophone belge de judo ont été séparés en deux groupes : un s’entrainant en condition hypoxique, l’autre en condition normoxique. Bien que le nombre de sujets soit insuffisant pour tirer des conclusions significatives de nos données, nos résultats suggèrent les mêmes tendances que ceux explicités dans des études similaires. Nous avons pu observer, de façon purement descriptive, que la performance tend à s’améliorer chez tous les judokas lors du Special Judo Fitness Test. De plus le Decrement Score Percentage et le pouvoir tampon semblent aussi être modifiés après ce type d’entrainement. Par ailleurs les données de VO2max, de VMA et V170 lors d’un test de course à intensité progressivement croissante ne semblent pas varier.
Référence bibliographique |
Plomb, Nicolas. Impact d’un entraînement spécifique par intervalles de haute intensité en hypoxie sur la performance chez des judokas de haut niveau. Faculté des sciences de la motricité, Université catholique de Louvain, 2017. Prom. : Benoit, Nicolas. |
Permalien |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:12061 |