Spaccesi, Laura
[UCL]
Paquet, Adrien
[UCL]
Hidalgo, Benjamin
[UCL]
Introduction: La raideur musculaire est l’un des principaux facteurs entravant la performance dans les activités quotidienne et sportive. L’application des techniques d’étirement de PNF nécessitent un thérapeute à la différence du SMR qui peut être appliqué de manière autonome. Cela pourrait inévitablement faire du SMR une technique d’étirement plus facile à mettre en place car le patient peut apprendre cette dernière et se l’auto-administrer. Matériel et méthode: 60 sujets sains masculins de 18 à 30 ans ont été recrutés et répartis en deux groupes selon la technique d’étirement utilisée, CRAC ou SMR. La souplesse de la chaine postérieure est objectivée à l’aide de 5 mesures cliniques : DDS, l’angle poplité, Schöber, Schö ber modifié, inclinomètrie et perception de raideur. Résultats: L’effet immédiat du CRAC est meilleur sur la flexibilité des ischio-jambiers, néanmoins le SMR montre également des résultats significatifs. Par contre, à court terme seul le CRAC indique une différence significative (p valeur=0,05) sur la souplesse du rachis lombaire avec une perception de raideur plus faible (p=0,046). Discussion et Conclusion: La tolérance à l’étirement pourrait expliquer ces résultats. A l’avenir, il serait intéressant d’évaluer l’effet de ces techniques au long terme et en appliquant l’étirement sur les deux jambes.


Bibliographic reference |
Spaccesi, Laura ; Paquet, Adrien. Effet à court terme de deux techniques d’étirement, le CRAC et le SMR, sur la raideur de la chaîne postérieure chez des sujets sains masculins âgés de 18 à 30 ans. Faculté des sciences de la motricité, Université catholique de Louvain, 2017. Prom. : Hidalgo, Benjamin. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:8830 |