Janvier, Sarah
[UCL]
Vanden Eynde, Jean-Louis
[UCL]
Gillis, Christophe
[UCL]
Vandenbroucke, David
[UCL]
Diverses formes de mise en valeur du patrimoine sont possibles. Parmi elles, la réaffectation est un procédé très ancien qui a beaucoup évolué au fil des siècles. Elle est envisageable pour tout type de bâtiment : industriel, civil, agricole... et même religieux ! Ceci dit, cette dernière est toutefois un acte plus controversé puisqu’il touche au caractère sacré. Beaucoup s’opposent à ce genre de projets qu’ils considèrent comme une atteinte portée à leur religion.
C'est alors que se pose la question du devenir de ces édifices. Au-delà de leur fonction spirituelle, leur enveloppe présente des qualités historiques et architecturales qui justifient le devoir de les conserver.
Parmi les outils patrimoniaux que nous possédons, celui de la réaffectation semble être le plus abouti pour donner une seconde vie à nos monuments. Cependant, sa mise en œuvre est complexe et la qualité de sa finalité dépend de la délicatesse des nouvelles interventions. Elles doivent être fines et ne pas altérer la lecture de l'édifice. Les symboles sacrés si présents et si forts et qui en font des lieux uniques doivent être perpétués. L'esprit du lieu figure dans ceux-ci.
Bibliographic reference |
Janvier, Sarah. La réaffectation des édifices religieux : Comment la fonction s’adapte t-elle à la forme ?. Faculté d'architecture, ingénierie architecturale, urbanisme, Université catholique de Louvain, 2019. Prom. : Vanden Eynde, Jean-Louis ; Gillis, Christophe ; Vandenbroucke, David. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:19308 |