Dufrasne, Gilles
[UCL]
Guilmot, Nathalie
[UCL]
Le choix d’une stratégie d’internationalisation plutôt qu’une autre, est dépendant de plusieurs facteurs. Une entreprise doit tenir compte du secteur dans lequel elle exerce. En fonction des spécificités de son environnement, il est peut-être plus intéressant de choisir une stratégie d’entrée particulière. La capacité financière d’une entreprise a aussi une grande importance dans le choix qu’elle fera pour pénétrer sur un nouveau marché. Une entreprise ayant les reins solides et souhaitant pouvoir contrôler la totalité de sa production, ses stratégies marketing, et ses normes et procédés, ouvrira probablement plus une succursale. Mais, il est aussi important pour une entreprise de tenir compte des spécificités culturelles nationales. Chaque pays a une culture qui lui est propre, construite depuis plusieurs siècles, influencée par son passée, son histoire, ses rites, ses croyances, ses valeurs, ses normes, ses règles. Une entreprise de nos jours, ne peut s’attendre à ce que le partenaire national avec lequel elle travaille, se comporte de la même manière en Belgique ou en Chine. La manière de travailler, ses envies, mais aussi ses réactions et son comportement sont influencés par sa culture au sens large. Ce qui fait d’un homme ce qu’il est, c’est la culture nationale du pays dans lequel il vit, mais aussi sa personnalité, l’école qu’il a fréquentée, la religion qu’il pratique, les amis qu’il côtoie, etc. Nous sommes donc tous différents, nos traits de caractères nous sont spécifiques et uniques.


Bibliographic reference |
Dufrasne, Gilles. Les stratégies d’internationalisation à l’épreuve du modèle d’Hofstede sur les différences culturelles : le cas de l’entreprise Fafa’s. Louvain School of Management, Université catholique de Louvain, 2018. Prom. : Guilmot, Nathalie. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:17026 |