Une économie politique de l’influence médiatique sur l’économie : Paniques bancaires et crises économiques au regard d’une littérature et d’avis d'experts

Ce mémoire met en avant une double recherche d’informations. D’une part, l’objectif est de démontrer l’existence d’un contrôle médiatique sur nos sociétés, de l’autre, il est de prouver que ce contrôle médiatique impacte notre économie. Le mémoire défend le fait que notre besoin informationnel de comprendre les événements de ce monde a permis aux instituts médiatiques de tirer profit sur notre conscience. Nous sommes donc vulnérables face aux informations des événements lorsque nous dépendons de la manière dont ces dernières sont communiquées. Cette vulnérabilité serait donc liée à notre besoin informationnel. L’économie, ne pouvant fonctionner sans une population impliquée, se retrouve vouée à une population douteuse dont les médias ne cessent de démontrer les faiblesses. Naïvetés, croyances et même foi en l’information médiatique, la réceptivité de l’auditeur s’est accrue avec l’arrivée des nouveaux canaux de diffusions médiatiques. Les conséquences ne s’amoindrissent pas lorsque les politiques s’allient avec les instituts médiatiques sur les méthodes de diffusions. Notre démocratie est verrouillée, notre liberté de pensée est manipulée. Qu’en est-il de l’économie ? Nos périodes de crises et de paniques économiques nous révèlent un nouvel épisode sur les méthodes de manipulations médiatiques. Entre rumeurs d’une insolvabilité bancaire et peurs d’y perdre ses propres dépôts, notre système économique a sombré, à plusieurs reprises, face à une crise de confiance entre la banque et sa population assujettie. Bien que l’économie puisse présenter des aspects de défaillances, les nombreux effets de médiatisation anticipent ses mouvements, allant jusqu’à prendre le contrôle des événements. Le mémoire propose également des hypothèses de voies de sorties dans lesquelles le lecteur doit faire preuve d’un sens de créativité pour les comprendre. Ainsi, nous espérons apporter un prolongement dans le raisonnement du lecteur.