Gillis, Delphine
[UCL]
Stinglhamber, Florence
[UCL]
Caesens, Gaëtane
[UCL]
Depuis quelques années, les recherches concernant le soutien organisationnel perçu, le soutien perçu du supérieur hiérarchique et le soutien perçu des collègues se multiplient. De nombreuses études se sont concentrées sur les conséquences positives et de multiples bénéfices tant pour les organisations que pour les employés ont été démontrés. Très peu d’études se sont donc attardées sur les possibles effets indésirables, voire négatifs de ces sources de soutien au travail. Nous aimerions, par le biais de ce mémoire, nuancer la littérature et prospecter la seconde face de la médaille. Nos hypothèses de recherche nous permettront d’évoquer quelques conditions dans lesquelles les différentes sources de soutien pourraient avoir des conséquences négatives. Pour ce faire, nous étudierons, dans un premier temps, les effets curvilinéaires de la perception de nos trois sources de soutien sur nos variables dépendantes d’intérêt, qui sont le stress, l’addiction au travail et le présentéisme. Nous explorerons, dans un second temps, l’effet modérateur du perfectionnisme sur les relations entre les trois formes de soutien au travail et ces mêmes variables dépendantes mais aussi l’effet modérateur de la fréquence d’interaction avec le supérieur et les collègues sur les relations entre le soutien perçu du supérieur hiérarchique, le soutien perçu des collègues et nos trois variables dépendantes d’intérêt.
Bibliographic reference |
Gillis, Delphine. Se sentir reconnu et valorisé au travail: n'y a-t-il que des effets positifs?. Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, Université catholique de Louvain, 2018. Prom. : Stinglhamber, Florence ; Caesens, Gaëtane. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:15134 |