À l’aube du 21ème, le Conseil européen de Lisbonne en 2000 a adopté un objectif ambitieux «devenir l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d’une croissance durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale». Pour atteindre ce but, l’Union a annoncé son projet pour la construction d’un « Espace européen de la recherche » (EER) qui implique de décloisonner les différentes politiques menées à l’échelon national ou régional, et de développer les « économies d’échelle ». Le processus de Bologne a émergé comme un moyen de former et de détenir des ressources humaines dans ce nouvel espace. Le processus de Bologne a été commencé hors du cadre de l’Union européenne en vue de construire un espace européen d’enseignement supérieur (EEES) pour 2010. La Commission européenne est intervenue progressivement dans ce processus, en finançant de nombreux séminaires, conférences et projets-pilotes. La Commission a pu prendre part à la réforme de l’enseignement supérieur en mettant l’accent sur la synergie entre l’enseignement supérieur et la recherche. Les États participants soutiennent l’intervention de la Commission dans l’attente des bénéfices d’une production de biens publics de manière plus efficace dus aux efforts de la Commission. Selon notre évaluation de l’impact prévisible du processus de Bologne, basée sur trois critères : l’accroissement de la mobilité des personnes ; l’équité du système de Bologne au sein des 25 États membres de l’Union européenne ; l’efficacité du système de Bologne :, ses résultats ont été positifs. Donc, nous avons conclu que la Commission continuera de jouer un rôle important pour la recherche européenne. Cependant, l’expansion du rôle de la Commission ne conduit pas à l’affaiblissement des États, car la relation entre la Commission et les États n’est pas fondamentalement conflictuelle. Il s’agit bien d’une promotion des intérêts nationaux au travers et grâce à l’intérêt général européen.
À l’aube du 21ème, le Conseil européen de Lisbonne en 2000 a adopté un objectif ambitieux «devenir l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d’une croissance durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale». Pour atteindre ce but, l’Union a annoncé son projet pour la construction d’un « Espace européen de la recherche » (EER) qui implique de décloisonner les différentes politiques menées à l’échelon national ou régional, et de développer les « économies d’échelle ». Le processus de Bologne a émergé comme un moyen de former et de détenir des ressources humaines dans ce nouvel espace. Le processus de Bologne a été commencé hors du cadre de l’Union européenne en vue de construire un espace européen d’enseignement supérieur (EEES) pour 2010. La Commission européenne est intervenue progressivement dans ce processus, en finançant de nombreux séminaires, conférences et projets-pilotes. La Commission a pu prendre part à la réforme de l’enseignement supérieur en mettant l’accent sur la synergie entre l’enseignement supérieur et la recherche. Les États participants soutiennent l’intervention de la Commission dans l’attente des bénéfices d’une production de biens publics de manière plus efficace dus aux efforts de la Commission. Selon notre évaluation de l’impact prévisible du processus de Bologne, basée sur trois critères : l’accroissement de la mobilité des personnes ; l’équité du système de Bologne au sein des 25 États membres de l’Union européenne ; l’efficacité du système de Bologne :, ses résultats ont été positifs. Donc, nous avons conclu que la Commission continuera de jouer un rôle important pour la recherche européenne. Cependant, l’expansion du rôle de la Commission ne conduit pas à l’affaiblissement des États, car la relation entre la Commission et les États n’est pas fondamentalement conflictuelle. Il s’agit bien d’une promotion des intérêts nationaux au travers et grâce à l’intérêt général européen.
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